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vendredi 21 décembre 2018

FAUSSES PRIORITÉS


LES FAUSSES PRIORITÉS par François Bouquin
Pourquoi d'un autre coté les dommages à l'eau, les extinctions de masse, les pollutions multiples, la fertilité qui s'effondre dans les pays riches, et dont la réalité est pourtant établie sans la moindre ambiguïté, pourquoi tout cela ne semble-t-il pourtant pas constituer une priorité pour les plus grands gourous du climat ? Le GIEC, ses omissions, ses mensonges, ses réunions dans des hôtels de luxe, partout autour du monde, et maintenant ses beaux projets industriels de géo ingénierie pour utiliser vos taxes. Mais pour le cycle de l'eau, le vivant, les pollutions rien. Pas un mot pour les autres causes que le CO2. Pour ceux qui ont oublié, les atomes, la matière, sont une agitation électrique du vide. Aussi, la lecture électrique et magnétique d'un phénomène quelconque est toujours un indicateur pertinent et c’est d’ailleurs principalement dans ce domaine que notre expertise scientifique progresse actuellement. Une bonne grille de lecture est donc, depuis le début de l’ère industrielle, quels sont les changements susceptibles de modifier l'électromagnétisme terrestre ? - Le cycle de l’eau a été littéralement défoncé partout. Les nappes qui assurent la lubrification des sols ont été vidées, et en surface on a asséché tant que l’on a pu les zones humides, les faire disparaître, les cultiver et bâtir jusque dans les lits majeurs des rivières. Comme ça ne suffisait pas on a fait des assainissements collectifs qui n'infiltrent plus les sols, artificialisé les terres des villes et donc toute l'eau va directement aux rivières, donc à la mer. La terre devient sèche. Une terre sèche ne s’oppose plus au froid, ni au chaud tout simplement puisque elle a perdu l’essentiel de sa capacité calorifique, celle de l’eau qui est énorme, en particulier avec sa chaleur latente. Mais pas seulement cela. En perdant son eau la terre est aussi devenue moins conductrice à l’électricité puisque elle perd alors aussi ses ions qui sont ses conducteurs électriques. Les tensions électriques statiques au sol ne sont plus reliées efficacement à la terre. Elles augmentent alors fortement en surface tout comme en altitude et vont donc modifier les courants Jets qui sont extrêmement sensibles et intimement liés à ces tensions de surface, fait connu depuis 100 ans étudié en détail depuis les années 50. Avec une tension statique plus élevée, la masse nuageuse va s’élever, les hautes pressions et anticyclones seront favorisés, la pluie sera alors plus rare, le climat se désertifie. C’est donc avant tout pour des raisons électriques que l’eau appelle l’eau, et le sec, la sécheresse. La sécheresse des sols est la cause du réchauffement des sols bien avant d'en être ensuite un conséquence. - La biodiversité a aussi été massacrée. Chacun le voit. En particulier depuis 30 ans avec l’arrivée des nouveaux phytosanitaires très puissants et l’explosion des rejets en tous genres. Or on le sait maintenant, une multitude de ces petits machins vivants agissent sur le climat par des moyens chimiques ou mécaniques. Et sans eux, sans ces micros régulateurs, les équilibres électriques des grandes dynamiques terrestres sont alors aussi perturbés. - Les sols ont été fortement métallisés en raison de l’industrialisation, de ses rejets, mais aussi des constructions métalliques dont nous avons tapissé notre terre. Là encore, pas besoin de faire un doctorat en génie électrique pour comprendre que la composante électrique terrestre a énormément changée en 150 ans. La terre est ainsi devenue plus conductrice via les métaux remontés en surface, et nettement moins en raison de la perte de l’eau dans ses sols. En remplaçant le conductivité électrique de l’eau par celle de métaux sur l’enveloppe terrestre, l’homme a changé la signature électromagnétique terrestre car l’eau se comporte bien différemment des métaux devant un champ électrique et magnétique. Je ne parle même pas de la pollution aux radios éléments qui ont ionisés toute la terre et que l’on suspecte fortement de provoquer aussi un assèchement de longue durée tel qu’observé au Sahara après les essais atomiques français ou plus récemment sur la côte ouest après Fukushima. - L’atmosphère elle aussi a subit de profond changements électromagnétiques. Elle est maintenant devenue un bouillon de photons très agités, jour et nuit, dans une gamme de fréquences allant de quelques Hz à des centaines de Terra Hz. Notre air, là où le climat se réalise, est maintenant constamment excité, jour et nuit. Et ça, c’est nouveau. Et en augmentation constante. Or que fait un objet constamment secoué ? Il vibre. Et comment se comporte un objet qui vibre en permanence ? Il se déplace d’une pichenette, d'un rien, au moindre souffle. Pour comprendre a quel point nous avons fait fort il suffit de constater que nous avons réussi a créer involontairement une bulle artificielle de VLF électromagnétiques qui se mesure tout autour de la terre (Etude NASA). L’on peut alors aussi constater notamment aux états unis, que les tornades, qui sont des phénomènes électriques, aiment de plus en plus les villes qui sont pour elles de véritables aimants. Conclusion: Dans cette lecture électrique de notre climat ou se situe le CO2 ? Nul part ou presque, puisque c’est un isolant, comme l’azote, mais meilleur encore. Donc d’un point de vue électrique le CO2 est quasi sans effet. Bien me direz-vous, mais ça change quoi ? Cela change l’ordre de priorité des réparations pour commencer par la préservation de la vie. 1 Restaurer les cycles de l’eau, car sans eau, pas de vie, et un climat pourri qui joue alors au yo-yo. Et même pire si vous vous rapportez à la thèse de doctorat de James Demeo sur le lien amplement vérifié entre le manque d’eau et patriarcat violent. (Livre et thèse : Saharasia). 2 Réduire les pollutions issues des combustions, non pour une question de CO2 mais d'abord pour réduire les rejets annexes qui métallisent les sols et les particules qui tuent le vivant. Pour cela il faut apprendre à mieux brûler, par exemple avec l’aide de plasma ou de catalyse électromagnétique. Si le CO2 pose effectivement un problème d’acidification des eaux et d’augmentation des hydrocarbonates dans l’alimentation pour la rendre moins nourrissante, et à ce titre doit être maîtrisé, stabilisé, au niveau climatique, le CO2 est probablement sans grande importance en comparaison des facteurs électriques. 3 Protéger ce qu’il reste de biodiversité car la terre est un organisme vivant dont la stabilité électrique repose sur une multitude de sous-ensembles vivants et complémentaires. Nous sommes un avec la terre. Tuer le vivant c’est se tirer dans le pied. Un minimum de connaissances en physique quantique, en particulier des mécanismes d’intrication suffit amplement pour s’en convaincre. 4 Développer des technologies énergétiques de seconde génération bio sourcées de manière à résoudre deux problèmes en un: Celui des ressources non transmutées disponibles en quantité limitées, et les pollutions métalliques. Le graphène est dans ce domaine notre meilleur espoir actuel. 5 Faire une guerre sans faille à la corruption des lobbys qui veulent nous faire adopter leurs vessies comme lanternes. A défaut leur vision a court terme s’imposera et il suffit de regarder ce notre terre actuelle pour comprendre les conséquences d’une vision corrompue. La fortune pour une minorité, la souffrance pour tous les autres, et notre avenir en berne.
François BOUQUIN



mardi 18 décembre 2018

LE SCANDALE ÉOLIEN


LE SCANDALE ÉOLIEN par Antoine Waechter
Le développement de l’éolien terrestre repose sur une escroquerie intellectuelle et politique
Après avoir colonisé les champs de betteraves et de céréales de la Picardie et de la Champagne, les aérogénérateurs investissent dorénavant les reliefs boisés de la basse montagne, dénaturant les plus beaux territoires de France et dégradant l’environnement de dizaines de milliers de personnes.
L’énergie éolienne a, semble-t-il, la sympathie d’une petite majorité de nos concitoyens, mais suscite des dizaines de procès devant la juridiction administrative. Cette réalité contrastée oppose ceux qui ne connaissent que les photographies de pales blanches sur un fond de ciel bleu à ceux qui vivent la proximité de ces monstres technologiques. L’adhésion repose sur une double escroquerie intellectuelle et politique : l’éolien serait nécessaire pour se passer du nucléaire et pour limiter les gaz à effet de serre, plus largement l’avenir appartiendrait aux énergies renouvelables.
Au niveau actuel de consommation énergétique, le renouvelable est parfaitement incapable de remplacer les énergies à haute densité comme le pétrole et l’atome. Il serait nécessaire d’abîmer tous les cours d’eau, de piller la forêt et de couvrir la France de panneaux solaires et de mâts géants pour atteindre cet objectif. Le cœur de la transition énergétique ne peut raisonnablement être qu’une réduction radicale de la consommation : tous les connaisseurs en conviennent. L’escroquerie politique est de taire cette vérité. L’investissement dans les nouvelles technologies de production d’électricité en veillant à ne rien changer à nos modes de vie et à notre organisation socio-économique consiste à poursuivre le modèle de développement à l’œuvre depuis près de deux siècles. C’est plus confortable politiquement… et nous achemine vers l’impasse en toute bonne conscience.
L’éolien n’est pas une alternative au nucléaire. La loi de transition énergétique a inscrit dans le marbre le niveau de production actuelle. L’EPR de Flamanville, qui aura coûté plus de 10 milliards d’euros, est annoncé pour une durée de vie d’au moins 60 ans. Un Etat qui a décidé de sortir du nucléaire n’équipe pas le pays en centrales pour le prochain demi-siècle. La réduction promise de la part de l’atome n’est qu’une illusion d’optique : l’accroissement de la consommation d’électricité, voulu par la loi (notamment par une électrification du parc automobile), conduit mécaniquement à diminuer la part relative sans avoir à modifier la trajectoire du modèle.
Enfin, l’éolien n’a pas sa place dans un mixte énergétique dominé par le nucléaire. Une énergie aléatoire suppose des relais rapidement mis en œuvre, comme des centrales hydroélectriques ou des centrales thermiques. L’hydroélectricité étant à peu près totalement mobilisée, le développement des centrales au gaz est le corollaire obligé de l’éolien. En d’autres termes, le développement de l’éolien exige le développement conjoint de centrales mobilisant des énergies fossiles et ne constitue pas, en soi, une réponse à la dérive climatique. L’Allemagne, qui est en voie de fermer toutes ses centrales nucléaires, est aujourd’hui l’un des principaux émetteurs de gaz à effet de serre de l’Union européenne.
Des milliers de personnes en souffrance
La multiplication des parcs éoliens massacre les paysages de France et provoque la souffrance de milliers de personnes. La course aux autorisations d’implanter conduit à coloniser des territoires sans vent comme l’Est du pays, hier considérés comme inaptes aux éoliennes. Pour atteindre la rentabilité, les développeurs installent dorénavant des engins de 200 mètres de haut (pâles + mât), soit 4 à 6 fois plus que les objets déjà existants comme les clochers, les flèches de cathédrale, les pylônes de lignes très haute tension…
De grands voiliers, comme les rapaces, sont tués par les pâles, tandis les poumons des chauves-souris éclatent sous l’effet de la dépression d’air créés par leur mouvement. Chaque éolienne vide un espace d’environ 1,8 hectare de tout vertébré (oiseaux et mammifères notamment), soit 9 hectares par parc de 5 machines, ce qui est sans incidence majeure dans un champ de maïs, mais très impactant au-dessus d’une forêt.
L’Académie de médecine a recensé tous les troubles suscités par la proximité d’un aérogénérateur, dans un rapport très complet publié en juillet 2017 : création de conditions favorables aux crises d’épilepsie, effet stroboscopique lié à l’ombre portée des pâles sur les maisons, malaises liées aux ultrasons produits par les vibrations des mâts, nuisances sonores. Le bruit du puissant brassage d’air (la prévision des zones de nuisances est complexe) fatigue le système nerveux par sa permanence comme la goutte d’eau qui tombe des heures durant. La nuit noire étoilée est rompue par les flashes rouges qui signalent les mâts aux avions : impossible de retrouver le charme d’un dîner en plein-air par une nuit douce d’été lorsque ces éclairs lumineux vous rappellent en permanence la présence de cette zone industrielle dédiée au vent.
Le scandale de l’Etat complice
Le scandale tient au fait que l’Etat a livré le pays aux spéculateurs du vent. Vous devez déposer un permis de construire pour édifier une maisonnette de 20 m² de surface habitable et d’une hauteur de 2,5 mètres. L’installation d’un aérogénérateur de 200 mètres de haut assis sur un bloc de béton de 75 tonnes et 200 m² de surface est exonéré de permis de construire ! L’implantation n’est soumise à aucune planification : les zones de développement éolien, déjà peu démocratiques dans leur élaboration, ont été supprimées en 2015. La décision du Sénat d’imposer une distance minimale de 1000 mètres entre une éolienne et une habitation a été annulée par le Gouvernement Vals. La Bavière vient d’instaurer une distance égale à 10 fois la hauteur de la machine, soit 2000 mètres pour une hauteur de 200 mètres ; l’Académie de médecine avait recommandé 1500 mètres voici quelques années déjà.
L’Etat ne cesse de faire évoluer les règles pour satisfaire le lobby des spéculateurs du vent. Dernier cadeau annoncé : le secrétaire d’Etat auprès de Nicolas Hulot veut rendre plus difficile les recours contentieux des associations (même logique que François Hollande qui, pour protéger la promotion immobilière, a, par les ordonnances de février 2014, rendu plus difficile le recours des citoyens). L’éolien ne fait pas bon ménage avec la démocratie. Les projets d’aérogénérateurs ne font jamais l’objet d’un référendum local et se développe le plus souvent dans la plus grande discrétion pour ne pas alerter les défenseurs du paysage et du cadre de vie.
Ainsi, loin de défendre la population, l’Etat fait le jeu des spéculateurs internationaux du vent contre l’intérêt des Français.
L’énergie entre les mains du capitalisme international
L’installation d’un parc éolien se joue en deux temps. Dans un premier temps, un développeur d’éoliennes contacte les maires situés près d’une ligne électrique et lui vante les bénéfices financiers à attendre d’une implantation. En cas d’accord, il monte le dossier, fait faire les études (souvent affligeantes en ce qui concerne le paysage, l’impact sur la santé publique et sur la faune), contribue à l’enquête publique, défend le projet devant le tribunal administratif. Coût de l’opération : environ 1 million d’euros.
L’autorisation obtenue est mis en vente sur le marché mondial. Elle est acquise le plus souvent par des fonds de pension américains, britanniques, canadiens.. par des pétroliers…, pour une somme de l’ordre de 15 millions d’euros pour un parc de 5 aérogénérateurs. L’acheteur dépensera encore quelques millions d’euros pour l’acquisition des machines et leur montage. Il vendra sa production à EDF qui est tenu de la racheter à un prix supérieur au prix de marché de l’électricité pendant une durée contractuelle de 10 ans. La différence est payé par la taxe dite contribution au service public de l’électricité (CSPE) que paient dorénavant tous les consommateurs d’énergie. Cette taxe vient encore d’augmenter.
Tous les acteurs gagnent, sauf le consommateur français. Le développement de l’éolien industriel est d’abord une affaire de gros sous : la principale motivation n’est pas de produire des kW/heure mais des euros dans un cadre sans risque puisque garanti par l’Etat.
L’une des conséquences de ce développement est de placer l’appareil de production énergétique d’origine éolienne entre les mains de capitaux étrangers : les consommateurs français sont ainsi appelés à contribuer aux retraites des Américains et des Britanniques.
Pour une transition énergétique intelligente
Il ne s’agit pas de mener une guerre idéologique contre les aérogénérateurs industriels, mais d’exiger que l’Etat reprennent la main sur le développement de l’éolien en localisant les zones d’implantation et en précisant des modalités qui préservent les paysages, la population et la démocratie. Une transition énergétique intelligente suppose le courage de fixer comme objectif central la réduction de la consommation d’énergie, quelle qu’en soit la source, et de définir une stratégie au service de cet objectif : interdiction du chauffage électrique, limitation des éclairages nocturnes, réduction des déplacements imposés en voiture par une interdiction de construire des zones d’activités près des échangeurs routiers et de grandes surfaces commerciales en périphérie de ville, isolation des bâtiments, interdiction de construire des bâtiments énergivores….
A chaque région, un mixte énergétique conforme à son tempérament. Les aérogénérateurs n’ont pas leur place dans les espaces naturels, les montagnes et les forêts, ni dans le champ de visibilité de nos monuments.
L’Etat protège-t-il les intérêts de grands groupes financiers ou la santé et le cadre de vie des Français ? Très clairement, les décisions prises au cours des dix dernières années profitent à la finance internationale au détriment des gens.
Antoine WAECHTER


samedi 17 novembre 2018

TRISTES ÉOLIENNES


ÉOLIENNES : LA GABEGIE DE L'ÉCONOMIE VERTE
Les éoliennes sont une menace pour l'homme et la planète
Une idéologie écologique aveugle nous a menés vers une catastrophe écologique et sanitaire, les faits :
§ Tout d'abord l'industrie de l'éolien est une affaire purement financière à gros rendements grâce à la taxe prélevée par EDF sur les consommateurs. Des financiers et leurs lobbies qui ne se soucient aucunement des conséquences de ce qu'ils vendent en s'appuyant sur une publicité mensongère et des rapports biaisés, et s'en servent pour manipuler sans vergogne et faire pression sur des populations et des élus peu informés.
§ Contrairement à ce qu'on veut faire croire les éoliennes augmentent les émissions de CO2 au lieu de les réduire.
§ Elles augmentent la hausse des températures par le brassage de l'air (l'augmentation serait de 0,5°C au sol pour un territoire qui n'utiliserait que l'énergie éolienne).
§ Elles sont dangereuses et polluantes pour l'environnement, malgré des massifs d'ancrage de plus de 1 500 tonnes de béton pour assurer leur sécurité.
§ Elles constituent une nuisance visuelle qui déprécie l'immobilier et la valeur touristique de vastes territoires où elles sont implantées.
§ Elles menacent la biodiversité.
§ Leurs nuisances sonores et infrasonores, sensibles jusqu'à 10 km, présentent un danger pour la santé des animaux et des hommes.
Cet aspect de la transition énergétique et un exemple flagrant de la collusion entre l'économique néolibéral et le politique. Par ses financements aux associations écologiques, il constitue un facteur de destruction du lien social.
Tous les champs éoliens terrestres et maritimes doivent donc être démantelés d'urgence sur l'ensemble du territoire national.
Un dossier complet, très édifiant avec ces deux premiers liens, Un troisième de témoignages des nuisances de l'éolien.




dimanche 4 novembre 2018

schizophrénie et écologie



 Sociologie de la Schizophrénie et Réchauffement Climatique


Georges Devereux (1908-1985) affirme que la civilisation moderne souffre d’une forme de schizophrénie socio-politico-économique. Celle-ci serait due à un manque de réalisme et à une tendance aux extrapolations hâtives.

Sa théorie sociologique de la schizophrénie permet de donner une explication possible de l’absence de réalisme avec laquelle nos sociétés abordent l’urgence écologique.

La schizophrénie

Le terme a été forgé par E. Bleuler (1911) à partir des mots grecs « fendre, cliver » et « esprit ». Le psychiatre allemand a voulu mettre en évidence ce qui constitue, selon lui, le symptôme fondamental d’un groupe de psychoses : la Spaltung (« fissure », « dissociation »).

Cliniquement la schizophrénie présente des symptômes apparemment très variables. Toutefois on en dégage habituellement les caractères suivants :

incohérence de la pensée, de l’action et de l’affectivité, appelée aussi discordance, dissociation, désagrégation ;
détachement à l’endroit de la réalité avec repli sur soi ;
prédominance d’une vie intérieure livrée aux productions fantasmatiques ;
activité délirante plus ou moins marquée.

Selon l’Inserm, la schizophrénie concerne 600 000 personnes en France. Elle est plus fréquente en milieu urbain, chez les migrants et les jeunes de 15-25 ans.

Sa survenue reposerait sur des éléments génétiques, des problèmes de développement cérébral, la consommation de substances psychogènes ou encore des facteurs socio-culturels.

Schizophrénie et sociétés modernes

Georges Devereux s’appuie sur son expérience d’ethnologue et de psychothérapeute pour avancer l’idée suivante : la schizophrénie constitue la psychose ethnique type des sociétés modernes complexes.

L’individu moderne apprend à être schizophrène au contact de sa société-culture et de ses modèles schizophréniques.

Son investigation débute par une série d’observations. Les désordres fonctionnels sont aussi communs dans les sociétés traditionnelles, peu différenciées que dans les sociétés modernes.

Toutefois, il y a absence quasi-totale de schizophrénie dans les communautés traditionnelles qui n’ont pas été soumises à des processus d’acculturation violents et massifs.

Enfin, les symptômes de la schizophrénie sont toujours accompagnés de signes manifestes de désorientation.

Ainsi, les seuls cas de schizophrénie qu’il a observés chez des membres de communautés traditionnelles concernent des individus qui ont quitté leur milieu d’origine (pour s’installer en ville par exemple) ou dont la communauté connaissait des bouleversements socio-culturels, en raison de sa mise en contact avec le monde moderne.

L’ethno-psychiatre formule alors l’hypothèse que la schizophrénie est provoquée chez l’individu par des tentatives inefficaces pour s’adapter à un milieu en voie de transformation.

Mais quels liens établit-il entre le type de la société moderne, le sentiment de désorientation et la schizophrénie ?

Orientation dans un contexte socio-culturel

Toutes les sociétés composent des environnements qui comme l’environnement physique exigent un effort d’orientation de la part des individus. Afin de s’y orienter efficacement, ces derniers ont besoin d’un apprentissage. Cet apprentissage s’appuie sur la présence dans l’environnement d’un certain degré de régularité.

Les régularités permettent aux gens d’extrapoler à partir d’expériences passées.

Toutes les cultures et sociétés présentent un grand nombre de régularités : modalités d’organisation familiales ou économiques, langage, lois, devoirs, interdits, règlements, signes, coutumes, modes… Ces différents éléments permettent aux individus d’extrapoler la conduite à adopter d’une situation à une autre.

Des sociétés traditionnelles moins complexes

Il existe cependant, selon Georges Devereux, une différence importante entre les communautés de vie traditionnelles et les sociétés modernes. Dans les premières, la structure sociale est moins différenciée que dans les secondes. Les éléments culturels sont moins diversifiés.

Par exemple, les statuts sociaux, les rôles et les tâches qui y sont afférentes sont généralement clairement définis : statut, rôle et fonction d’une mère, d’une tante, d’un grand-père, d’un berger, d’un guerrier…

Les gens sont pleinement orientés dès leur plus jeune âge au sein de ce qui constituera toujours un univers familier. Il leur est relativement facile d’extrapoler du connu à ce qui l’est moins.

Ainsi le passage d’une classe d’âge ou d’un statut à un autre désoriente peu, ni éventuellement le changement de métier ou de village.
Des sociétés modernes très différenciées

La situation de l’individu moderne est bien plus ardue. Son environnement social et culturel est très complexe.

La société moderne est organisée en champs ou univers sociaux qui possèdent chacun leurs propres modalités de fonctionnement (mondes du travail, de l’école et de l’enseignement, de la politique, de la famille…).

En outre, la société est divisée en classes sociales qui correspondent à des conditions matérielles et symboliques d’existence très différentes.

A la complexité des structures sociales s’ajoutent une non moindre complexité des éléments culturels. Les valeurs, les règles, les modes, les pratiques connaissent une grande diversité d’un univers ou d’une classe sociale à l’autre.

Il est évident qu’au sein des sociétés modernes, les individus ne peuvent embrasser l’ensemble de la production culturelle (culturel s’entend ici au sens large).

Je ne cite qu’un exemple parmi tant d’autres : celui du droit. Seuls des professionnels qui y consacrent leur quotidien peuvent avoir une vision exhaustive de ce qui s’y produit, dans le domaine de leurs spécialités respectives (droit familial, fiscal, commercial…).

De la même manière, la plupart des gens ont une connaissance très superficielle des conditions de vie des classes sociales auxquelles ils n’appartiennent pas.

La même remarque vaut pour ce qui concerne les univers sociaux : que connaissent un étudiant ou un agriculteur, des environnements dans lesquels évoluent un employé d’une grande entreprise ou un homme politique (et vice versa) ?

En général, l’individu moderne ne connaît donc qu’un segment restreint de sa culture-société ce qui lui pose un certain nombre de problèmes lorsqu’il cherche à s’y orienter.

Le problème de l’extrapolation

Le raisonnement par extrapolation est d’ordinaire suffisant dans les cultures suffisamment simples où le rythme de changement est relativement lent.

En revanche, l’extrapolation n’est pas le processus théorique qu’il convient d’appliquer dans un milieu culturel complexe ou en cours de transformation rapide.

Or dans les sociétés modernes, les individus sont fréquemment confrontés au changement. Au cours de notre vie nous passons par différents univers sociaux : de la famille à l’école, de l’école au travail…

Nos conditions matérielles d’existence et les gens (classes sociales) que nous fréquentons peuvent varier. Nos statuts, nos rôles, nos fonctions se démultiplient tout au long notre existence (écolier, étudiant, célibataire, en couple, mari, parent, employé, élu, retraité, activiste bénévole…).

Nous changeons plusieurs fois de métier. Et si nous gardons le même métier, nos fonctions et les modalités de son exercice évoluent…

Pour vivre ces changements nous sommes généralement mal préparés. Et la plupart du temps, pour tenter de nous orienter notre premier réflexe est d’extrapoler à partir de nos expériences passées.

Nous nous comportons à l’école comme à la maison, ce qui nous vaut de sévères réprimandes, puis au travail nous nous comportons comme à l’école et parfois nous nous comportons en enfants jusqu’à notre retraite…

Une vision disloquée du Monde

L’individu moderne, c’est la thèse de Georges Devereux est en quelque sorte pré-disposé à la schizophrénie. Fréquemment désorienté, il tente de résoudre ses désorientations en extrapolant à partir d’expériences passées.

N’étant pas accoutumé à manier les grandes abstractions, il n’apprend pas à évaluer objectivement la réalité. Il extrapole, forme des stéréotypes, agglomère ou substitue par identification des éléments qui sont disparates.

Dans un langage plus imagé l’ethno-psychiatre écrit que notre tendance à la schizophrénie résulte de notre prétention à comprendre le Monde en fonction de l’hypothétique nombril dont nous sommes issus.

J’ajoute que ce nombril peut tout aussi bien être notre famille, notre classe sociale, notre quartier, notre ville ou notre Grande École…

Le problème du schizophrène, c’est son obstination à considérer l’extrapolation comme seul moyen de comprendre le Monde.

Cette obstination à utiliser des cartes périmées pour s’orienter aboutit à une vision profondément disloquée de la réalité.

Une expédition sans retour

Pour illustrer le problème de la schizophrénie en tant que psychose sociale, Georges Devereux recourt à une historiette.

Un centre de recherche basé à Paris projette d’envoyer une expédition exploratoire au Pôle Nord. Au préalable, il organise une mission de reconnaissance pour s’assurer des ressources alimentaires des régions que l’expédition traversera.

Après avoir parcouru 800 kilomètres la mission fait demi-tour. Son rapport établit par extrapolation, avec statistiques à l’appui, que l’expédition exploratoire trouvera un bistrot tous les 500 mètres jusqu’au Pôle Nord.

Cette anecdote prend tout son sel si l’on tente de la transposer à la situation que nous vivons actuellement.

L’expédition exploratoire représenterait l’humanité toute entière. Quant à la destination ce ne serait pas le froid mais, comme vous le savez, le chaud.

La mission de reconnaissance ce serait les apôtres du couple capitalisme-technologie. Leur mot d’ordre serait : « Continuons à avancer comme nous l’avons toujours fait. La technologie viendra à notre secours en cours de route. »

Irréalisme et réchauffement climatique

La situation présente est la suivante. Le changement climatique provoqué par l’activité humaine est acté. La pollution massive de l’eau, des sols et de l’air aura probablement des effets aussi néfastes que le réchauffement climatique. L’espace de vie des différentes espèces animales et végétales est de plus en plus réduit, ce qui conduit à l’effondrement de la biodiversité.

La trajectoire de la catastrophe environnementale est déjà bien engagée. La définition des actions à entreprendre pour tenter de limiter les dégâts nécessite de s’élever à un niveau d’abstraction suffisant pour découvrir la structure d’ensemble du problème.

Mais la tendance du schizophrène est à l’extrapolation, seulement à l’extrapolation.

Lorsque les gouvernements des grandes puissances abordent la question du climat, les mesures qu’ils mettent en avant sont extrapolées à partir du modèle économique capitaliste : mise en place d’un marché du droit à polluer, mesures financières et fiscales incitatives…

Un autre signe frappant du manque de réalisme avec lequel la question climatique est abordée émane des projets de modification de l’atmosphère pour refroidir la Terre.

Ces projets de géo-ingéniérie extrapolent à l’échelle planétaire l’idée que la technologie peut toujours réparer les dégâts causés par l’être humain.

Pourtant ce que nous enseigne la science lorsqu’elle s’élève à son meilleur niveau d’abstraction c’est bien que chaque intervention sur un système complexe déclenche des chaînes de perturbations. La plupart du temps nous ne les découvrons qu’après les avoir déclenchées.

Le réalisme ou la fin ?

La schizophrénie, rappelle Georges Devereux, est caractérisée par une diminution du taux d’absorption des stimuli nouveaux et des connaissances nouvelles. Le malade en est réduit à opérer uniquement avec des souvenirs.

En somme, le schizophrène continue à se comporter en 2018 comme s’il était en 1950 : pas d’entrave à la production et à la consommation et foi dans le progrès technologique.

En 1965, Georges Devereux concluait son article par cet avertissement : « Notre société devra cesser de favoriser par tous les moyens le développement de la schizophrénie de masse, ou elle cessera d’être. S’il est encore temps de recouvrer notre santé mentale, l’échéance est proche. Il nous faudra regagner notre humanité dans le cadre même de la réalité, ou périr. »

Gilles Sarter 
(Cet article a été publié une première fois sur le site secession.fr

Références : "G. Devereux, « Une théorie sociologique de la schizophrénie » (1939) et « La schizophrénie, psychose ethnique » (1965)"

mardi 9 octobre 2018

MOBILISONS-NOUS


NOTRE PAYS, C’EST LA TERRE
Notre pays c'est la terre. Notre peuple c'est l'humanité ! Ce thème, au cœur de l'action de plusieurs mouvements citoyens dans le monde entier devient de plus en plus concret face à la montée des risques écologiques et aux attaques croissantes contre les valeurs humanistes portées par une nouvelle peste brune. Celle ci se trouve tragiquement incarnée par le risque de voir élire, dans le pays du forum social mondial, le Brésil, un candidat fasciste, misogyne, homophobe et nostalgique de la dictature militaire. Au même moment le nouveau rapport du GIEC sur le climat montre que les risques de voir notre terre devenir de plus en plus inhabitable, se transformer de "terre- mère" en "terre- serre" sont réels. Il nous faut faire face simultanément à ces deux risques, en comprendre le lien systémique et la réponse elle même systémique à y apporter. C'est l'objet de l'échange ci dessous que nous avons eu récemment au sein de l'archipel citoyen des Jours heureux en écho au formidable rassemblement de Bayonne lors de l'arrivée du Tour d'Alternatiba.
Le défi est en effet vertigineux et pour le moment, outre le versant écologique du dérèglement climatique, celui du réchauffement, nous sommes en plein dans son versant émotionnel, celui de la glaciation sociale dont la montée du néofascisme constitue une illustration gravissime après les formes diverses de replis identitaires. Le Brésil est au confluent de ces deux risques puisque la destruction de la forêt amazonienne est citée dans l'article que tu évoques comme l'une des causes possibles de l'emballement des boucles rétroactives vers la terre-serre. Or l'élection éventuelle du candidat d'extrême droite en tête des sondages du premier tour serait une circonstance aggravante car, outre son éloge de la dictature, sa justification du viol et son racisme, ce type est en outre un irresponsable total sur le plan écologique. Trump avait lui même illustré cette double face du double dérèglement climatique. Les effondrements (je préfère ce pluriel au singulier qui relève d'une collapsologie à la fois romantique et mortifère) sont aujourd'hui aux deux bouts de la chaîne : celui écologique concernant le climat et la biodiversité d'un côté, celui culturel et moral de la mise en cause des valeurs humanistes les plus fondamentales de l'autre. Nous assistons, comme dans les années trente, à la propagation dangereuse d'une épidémie de "peste émotionnelle" pour reprendre l'analyse de Wilheim Reich dans son livre de référence "Psychopathologie de masse du fascisme". Quand des catégories sociales vivent à la fois la peur du déclassement et une répression de leur Énergie libidinale, cela se traduit par une régression émotionnelle massive. Au lieu de se retourner contre le système capitaliste qui est à l'origine de leur déclassement social elles se retournent contre plus pauvres, plus exclues qu'elles, afin de maintenir leur rang dans cette peur de la dégringolade sociale. Hier ce sont les juifs, les tziganes, les homosexuels, les immigrés européens qui en ont fait les frais. Aujourd'hui ce sont principalement les immigrés non européens qui en sont les victimes mais aussi dans le cas de Trump et du néofascisme brésilien les femmes et les homosexuels. Ce double dérèglement climatique qui aggrave le diagnostic d'alerte nous offre paradoxalement pourtant une opportunité : d'un côté le néofascisme se heurtera de plus en plus au principe de réalité écologique et sa stratégie du déni illustrée par Trump ne pourra tenir longtemps face à la réalité des risques. Très vite la réponse nostalgique à la peur dont il est porteur se révélera une impasse, et comme le propre des réactions émotionnelles est de Pouvoir passer rapidement d'une posture à une autre, il nous faut préparer sans attendre l'heure du retournement comme l'ont fait les résistants pendant la seconde guerre mondiale par rapport au fascisme. Du même coup il nous faut activer sans attendre le second volet de la lutte contre la peste émotionnelle qui est celui de la fraternité et du bien-vivre en acte en s'appuyant en particulier sur la résistance majeure des femmes comme on le voit au Brésil et aux États Unis. Il nous faut en outre travailler fortement, comme nous le proposons pour Villarceaux l'alternative au collapse moral et spirituel en interpellant les grandes traditions spirituelles et notamment religieuses sur leur rôle dans ce combat. Après tout elles portent dans leur longue histoire une double face : celle, noire, des intégrismes et des guerres du sens religieuses ou idéologiques (stalinisme) mais aussi celle lumineuse de l'appel à l'amour (christianisme), à la miséricorde (l'Islam), à la compassion (bouddhisme), à l'égalité (communisme). Comme on l'a vu avec l'encyclique du pape Laudato SI ou avec l'initiative du sommet des consciences qui a joué un rôle important dans l'accord de Paris , quand c'est la face lumineuse qui l'emporte sur la face sombre cela se traduit à la fois par une avancée de la conscience écologique et un recul de la peste émotionnelle. Et là ce sont des milliards d'êtres humains qui sont directement influencés par cette autre forme de variation climatique. Au fond la question centrale n'est pas celle de la mort : nous mourrons, nos enfants et petits enfants mourront, les générations futures mourront et nous pouvons d'ores et déjà prédire, malgré quelques prédictions transhumanistes, que les sept milliards et demi d'êtres humains actuels mourront. Cette constatation banale qui va bien au delà des prédictions catastrophiques sur le fait qu'il ne resterait qu’un ou deux milliard d'êtres humains après une série de catastrophes et de guerres (scénarios de la CIA) met aussi en évidence que le vrai problème n'est pas la mort elle même mais le fait de ne pas vivre pleinement, dignement, intensément, avant de mourir. C'est ce que ne comprennent pas les survivalistes, expression caricaturale de ce que j'appelle la collapsologie névrotique et mortifère, à la différence de cette mobilisation des forces de vie même en situation de catastrophe que l'on pourrait nommer "la collapsologie érotique". Ils se préparent à se terrer avec leurs vivres et leurs armes et quand ils sortiront (peut être) de leurs bunkers ce sera pour continuer de se battre contre les autres survivants. À l'inverse comme le rappellent Pablo Servigne et Rafael Stevens, la clef d'une réponse à une situation d'effondrement c'est la solidarité qui en redonnant confiance dans les autres, rouvre la confiance dans l'avenir. Mobilisons donc sans attendre l'éros, les forces de vie face à Thanatos comme le dit Edgar Morin dans son hommage à Stephane Hessel pour agir face au double dérèglement climatique. 
Comme hier il nous faut donc à la fois une stratégie à court terme contre le pire, stratégie tout à la fois écologique et sociale donc, et une perspective de moyen terme comme l'a compris le CNR hier en étant aussi capable de se projeter dans l'avenir avec son programme anticipateur qu'il a choisi de manière significative de nommer "Jours heureux". C'est tout l'enjeu de ce que l'on pourrait nommer le Projet d'un CMR, un "Conseil mondial de la Résilience"!
Patrick Viveret – Illustration de Yak.


samedi 22 septembre 2018

IMAGE THÉMATIQUE

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PRÉSENTATION DU BLOGGER ECOLOGIE GLOBALE


PRÉSENTATION

Le Blogger Ecologie globale est un espace interactif de l'Association Française du Développement Mental Sémantique dont le logo se trouve en tête des pages. Ce club, ouvert au public, se veut être un lieu de proposition, de discussion et d'élaboration de projets dans une démarche générale visant à l'évolution mentale des hommes, condition préalable à toute évolution politique, économique et sociale, d'être dans la pratique plutôt que dans la spéculation intellectuelle, et de se contenter de faire avancer les choses du mieux que nous pouvons. Les pages sont donc destinées à des recherches et la mise au point de documents à présenter ailleurs. Enfin, compte tenu de la position résolument dualiste de l'enseignement DMS, il n'est pas question d'accepter la contradiction de matérialistes, nous ne sommes pas là pour convaincre ceux qui refusent obstinément de l'être et préfèrent servir le système en place. S'il s'en présentait par inadvertance, ils seraient immédiatement exclus du club. 

ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DU BLOG

La page d'accueil comprend une suite d'articles, les autres pages un seul article. La liste et les liens des pages se trouvent dans le bandeau vertical droit. Vous pouvez commenter ou écrire dans ces articles. Pour écrire dans un article vous devez le modifier en cliquant sur le crayon orange qui se trouve sous l'article auquel vous avez accédé par afficher le blog en haut à gauche de l'espace d'administration du site. Une fenêtre s'ouvre alors avec des outils de rédaction comparables à ceux que l'on trouve dans Word office et l'article à modifier. Vous pouvez choisir la police, insérer des images et des liens. Enfin choisissez un des dix libellés disponibles dans le cadre (Paramètres des articles) en haut à droite afin de le ranger dans une catégorie. Quand vous avez terminé n'oubliez pas de mettre à jour en cliquant dans le rectangle orange en haut à droite. Dans la rubrique toutes les pages vous avez aussi sous leur titre la possibilité de visualiser et de modifier la page. Quant-aux commentaires, ils se trouvent sous les articles. N'oubliez pas de publier en cliquant dans le rectangle bleu inférieur sinon votre commentaire risque fort d'être perdu quand vous quittez le Blogger.
La technique est beaucoup plus simple que ce que l'on trouve dans les sites à construire chez les hébergeurs, il faut cependant souvent réactualiser les pages comme dans Facebook pour voir les dernières informations. 

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